20140524

[Raté de transcription]

Je ne propose pas de choix.
C'est simplement la vie qui me force à en faire.
alors je dévie, je met simplement des priorités sur les choses.

Voilà longtemps que tu rages.
Nos disputes sont longueur.
Je ne comprenais pas les non-regards.
Ni les départs scénés.

Je sais aujourd'hui que c'est toi qui mijotait un truc.

Pauvre toi,
Demande toi qui subit et qui court après son avenir.

20140503

[Pagaille d'encres d'un cahier perdu sous les draps]



T'es en train de vivre un calcaire, le soleil dans la gueule sans rien dire,
alors que nous, rien que le soleil dans les yeux ça nous fait râler.
J'ai chassé sans le voir, déserté sans le savoir.
Et si l'eau dort encore ?
M'en veux pas.
Le tout n'est pas de savoir mourir, mais de savoir renaître ensuite.
Réveil entre deux absences.
Désormais je sais ce qui bouscule mes yeux.
Il m'a promis un livre. Rien n'a croisé ma boîte aux lettres.
Vous ne rêvez pas, je parle un autre langage parfois.
Il a cherché de l'énergie pour réparer mon épaule brisée.
Que d'un sourire, que d'un regard peut renaître une histoire.
Les gens mangent de la quiche, j'en ai plein ma robe.
J'espère.
Tu me manques.
On se lève tous pour un grand malade.
Où est le récit de ma vie? L'auriez vous mangé ?
Dans la foule, je l'ai embrassé.
Une nuit sans toi.
Tout s'évapore.
Obama est sur de gagner.
Il me l'avoue entre deux décollages.
A vive allure.
Des choix,
le seul que je veuille.
Mes idées s'évadent.
Pardon, mais ici on vit.
Tout est à suivre, je t'en prie, poursuis.
Elle est rentrée, sauve, pas entière, mais sauve.
Chers mecs, je ne suis plus dans votre délire.
Je revois la scène.
Serais je la seule à pouvoir combattre ?
Il n'y a pas d'heure pour les tartes.
Tu vois.
Et si je devenais tienne ?
Arrêtes de jouer.
Bloquée.
Je crois que je tombe.
Comme d'habitude, je fais face.
Ma vague se cogne dans les rochers du temps.
J'ai les yeux dans le sable du Touquet.
Je ne sais pas.
L'espoir est  toujours là.
M'en veux pas.