20120115

[Etre soi c'est parfois se surprendre à être une autre.]

Que de mots, que de dires.
& tout cela pour maudire un monde qui me soumet à une ronde qui va trop vite. 
Ton coeur, ton heure a sonné.
Ne vois tu pas que ce n'est pas la lumière qui déconne mais le jus qui n'est plus pressé au bout du tuyau ? 


Ne cours pas pour tomber, cours pour vivre.




Cours pour ne pas voir que le paysage ne défile pas mais que ceux sont tes yeux qui froissent tes paupières trop vite .
J'ai découvert que la soif n'apaisait pas les peines. Mais que l'eau pouvait noyer nos chagrins. 


De quoi parle t-on?


Des bouts de coeur qui saignent.
Le tout sans savoir pourquoi.
On sait pas d'où ça vient mais c'est là. 
Comme une lourde peine.
Moi j'ai envie de crier.
Toute cette lourdeur je l'envoie dans les airs.
Mais au final elle retombe devant moi.
Collante la pesée. 
Retournes toi, c'est toujours là.
Recueilles toi, le monde est loin.

2 commentaires:

  1. Non, vraiment,

    il ne me semble pas co-Naitre ce blog,

    ni davantage vos pages,

    encore moins votre style,

    pourtant si personnel.....

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  2. Ainsi soit-il.
    Pardon pour l'interrogatoire.
    A d'autres pages, sans doute.

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